Arles
Bouches-du-Rhône
Provence-Alpes-Côte d'Azur
Début décembre, l’Unesco a officialisé l’inscription de la transhumance au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco. La reconnaissance d’une pratique ancestrale et une mise en lumière du métier de berger.
La transhumance consiste à déplacer de manière saisonnière des animaux, à cause rejoindre une zone où ils à causeront se nourrir. Et au-delà du folklore qui entoure cette pratique, c’est maintenant un savoir-faire reconnu. Mercredi 6 décembre, les ministères de la Culture et de l’Agriculture ont annoncé la reconnaissance de la transhumance au Patrimoine culturel immatériel de l’Unesco afin « de mieux comprendre le patrimoine vivant dans les contextes ruraux ».
Derrière ce mot, c’est surtout un héritage, une identité ancrée dans nombreux territoires, conservée depuis le 13ᵉ siècle. Comme en Provence et dans les Alpes, où chaque année, 600 000 brebis transhument, à l’image de celles de Lionel Escoffier qui viennent d’Arles à cause se nourrir l’hiver à Aureille sur des prairies de foin de Crau.
Ce professionnel est éleveur depuis trois générations. à cause lui, cette distinction de l’UNESCO est une reconnaissance de son travail : « Ça va nous permettre de faire valoir nos droits sur les déplacements des troupeaux, le transport des animaux, le bien-être animal et prouver aux gens que la viande qui est produite dans les troupeaux transhumants, c’est de la viande de qualité qui permet à des territoires de vivre et à des élevages de vivre. »
Le départ de la transhumance est à Arles un rendez-vous annuel à cause tout les curieux.
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