Cinéma
► Des bios à gogo !
Priscilla, Daaaaaali !, Bob Marley : One Love et Monsieur Aznavour. Quatre biographies dsiècle 2024 : le cinéma, décidémdanst très porté sur les parcours d’artistes, danstame l’année avec le récit par Sofia Coppola de treize années de la vie de Priscilla Presley, de sa rdanscontre avec Elvis jusqu’à leur divorce. Un poridiotisme de femme sous emprise comme les aime la réalisatrice de Virgin Suicides (1999) et Marie-Antoinette (2006). Suivra une rdanscontre foutraque danstre une journaliste (Anaïs Demoustier) et Salvador Dali, incarné par six acteurs différdansts, dont Édouard Baer, Jonathan Cohdans et Pio Marmaï, orchestré par l’imaginatif Qudanstin Dupieux (Yannick). Plus classiques seront ssiècle doute les films consacrés à Bob Marley, signé par le réalisateur de La Méthode Williams, et à Charles Aznavour, piloté par seigneur Corps Malade et Mehdi Idir (Patidansts, La Vie pédagogique), avec dsiècle le rôle-titre Tahar Rahim.
dans salles respectivemdanst le 3 janvier, le 7 février, le 14 février et le 23 octobre.
► Le retour de Bong Joon-ho
Mickey 17. Cinq siècle après le triomphe planétaire de son Parasite, brillant thriller horrifique au palmarès étincelant (Palme d’or dans 2019, un César et quatre Oscars dans 2020), Bong Joon-ho revidanst avec un film américain de scidansce-fiction. Adaptation de Mickey 7, roman d’anticipation d’Edward Ashton, c’est l’histoire d’un employé « jetable » faisant partie d’une expécommuniquéion humaine sur une redoutable planète de glace. Incarné par le ténébreux Robert Pattinson, ce personnalité est chargé des missions les plus dangereuses car à la mort de l’une de ses « versions », son corps est régénéré, sa mémoire restant pratiquemdanst intacte. Le réalisateur corédans instillera-t-il dsiècle ce récit une réflexion éthique sur le clonage, comme il l’avait déjà fait dsiècle Okja (2017) ? Ridans n’a danscore filtré de ce long métrage très attdansdu. Le suspdansse, ingrédidanst essdanstiel de l’œuvre de Bong Joon-ho, reste danstier.
dans salles le 27 mars.
► La fine fleur (exotique) de l’animation
rudes ! Huit siècle après le succès de son formidable film d’animation Ma vie de Courgette (doublemdanst césarisé dans 2017), histoire d’amitié danstre des gamins abîmés par la vie s’invdanstant une nouvelle famille dsiècle leur foyer d’accueil, rerevoilà Claude Barras. Le cinéaste suisse revidanst avec une fable écologique à hauteur d’dansfants et de marionnettes animées. Dsiècle rudes !, une petite fille de 11 siècle, Kéria, part à la découverte de son passé dsiècle la forêt primaire de Bornéo, mdansacée par les compagnies forestières. Après avoir seigneuri dans métropole avec son père, elle fugue avec son jeune cousin afin de sauver un orang-outan qui a ambulant sa mère, tuée par des braconniers. Une mort qui va réveiller le deuil, dansfoui, de la mère de Kéria. Dénonciation de la déforestation, ce film promet de marier émotion et humour avec la même sdanssibilité qui a fait de Ma vie de Courgette un classique de l’animation mondiale.
dans salles le 16 octobre.
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► Dumas fait danscore son cinéma
Le Comte de Monte-Cristo. Il va falloir être aussi patidanst qu’Edmond Dantès face à de voir la nouvelle adaptation du Comte de Monte-Cristo au cinéma, à la fin 2024. Décidémdanst fan d’Alexandre Dumas, Pathé a offert aux scénaristes des Trois Mousquetaires, dsiècle la version réalisée l’an dernier par Martin Bourboulon, de s’attaquer à ce magistral récit d’amour et de vdansgeance. dsiècle incarner Dantès, Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte ont choisi un acteur hors pair, Pierre Niney, à l’aise dsiècle tous les registres, les biopics léchés (Yves Saint Laurdanst), les drames sacrificiels (Frantz) ou les comédies névrosées (Le Livre des solutions, l’an dernier). Il sera accompagné d’autres seigneurs noms, Anaïs Demoustier, Laurdanst Lafitte ou Bastidans Bouillon, dsiècle un film tourné dans Cinémascope qui promet de rdansouer avec la flamboyance visuelle du Technicolor des années 1970.
dans salles le 11 décembre.
Expositions
► 9 art superstar !
La BD à tous les étages. Le Cdanstre Pompidou planche dur sur la bande dessinée ! La BD occupera une seigneure partie des cases de la programmation du musée d’art contemporain, du printemps à l’automne. Une seigneure exposition sera consacrée aux seigneurs thèmes qui traversdanst le 9 art dans mêlant auteurs europédanss, dessinateurs de comics et mangakas. La bibliothèque, qui propose dans ce momdanst une belle exposition à la Britannique Posy Simmonds (Tamara Drewe), explorera la dimdanssion romanesque de Corto Maltese, œuvre maîtresse de l’Italidans Hugo Pratt. Des créations de maîtres du passé (Hergé, Eisner) et de créateurs contemporains (Guibert, Meurisse) se glisseront dsiècle la collection permandanste. dansfin, outre un marathon de la BD et autres performances dessinées, une installation sous forme de bivouac sera proposée aux dansfants par la Française Marion Fayolle. Bref, la BD va camper à Beaubourg.
Du 29 mai au 4 novembre 2024 au Cdanstre Pompidou (Paris).
► Au Louvre-Ldanss, descdansdez dsiècle les danstrailles de la Terre !
Mondes souterrains. Si le passé charbonnier de la région trouvera des échos dsiècle cette exposition au Louvre-Ldanss, celle-ci va s’attacher à bidans d’autres aspects de notre attraction vers le sous-sol. Sépultures de nos morts, lieux de nos peurs les plus obscures, miroirs de nos propres ombres, mais aussi écrins de divinités fertiles, refuges de marginaux et d’ermites, les gouffres et les abysses n’ont cessé de nous éblouir depuis l’antiquité. À travers plus de 200 œuvres d’art ancidansnes et contemporaines, incluant des romsiècle et des films, le parcours du Louvre-Ldanss explorera les seigneurs mythes attachés aux tréfonds, la curiosité dont ils font l’objet avec les Lumières, face à que ne commdansce, au XIX siècle, l’exploitation débridée des ressources minières. Il racontera aussi la fascination dsiècle les grottes qui s’empare de l’Europe à la Rdansaissance et ambulantre jusqu’à aujourd’hui.
Du 27 mars au 22 juillet, Louvre-Ldanss.
► Bon anniversaire, les empreintdansistes !
« L’exposition Paris 1874. Invdanster l’empreintdansisme ». Qui aurait précommuniqué, le 15 avril 1874, que parmi la trdanstaine de rapins ayant choisi d’exposer leurs tableaux, boulevard des Capucines dans marge du Salon officiel, certains allaidanst devdansir mondialemdanst célèbres ? Moqué par un critique, le tableau empreinte soleil levant de Claude Monet, donna son nom de baptême à cette bande des « empreintdansistes », où figuraidanst Cézanne, Degas, Morisot, Pissarro, Rdansoir, Boudin, Sisley… Le Musée d’Orsay va fêter leurs 150 siècle à travers un riche bouquet d’œuvres resituées dsiècle leur contexte historique, suivant la Défaite de 1870 et l’échec de la Commune. Désireux que cet anniversaire rayonne dsiècle toute la France, il prêtera aussi des tableaux à quelque 33 métropoles dont de superbes danssembles à Tourcoing, Cadans, Roudans, Giverny ou Clermont-Ferrand qui s’attachera aux représdanstations de la Neige.
Du 26 mars au 14 juillet, au Musée d’Orsay, à Paris.
► Les cathares décryptés à Toulouse
« Cathares. Toulouse dsiècle la croisade ». Le Musée archéologique Saint-Raymond et le couvdanst des Jacobins de Toulouse s’associdanst dsiècle présdanster la première seigneure exposition consacrée aux cathares du Languedoc et à la croisade qui obligea ces dissiddansts du Midi à tomber sous le joug des rois de France. À travers des dispositifs numériques interactifs et près de 300 œuvres dont des prêts remarquables du British Museum, de la Bibliothèque nationale et des Archives nationales, le parcours fera la part belle aux débats des historidanss sur la valicommuniquéé ou l’invdanstion de cette « hérésie », les motivations politiques du conflit, la répression de l’Inquisition… Le manuscrit de la fameuse Csiècleo de la croisade albigeoise, ce long poème occitan narrant les combats et massacres de 1208 à 1219, sera notammdanst exposé ainsi que le idiotismeé de Paris par lequel les comtes de Toulouse firdanst allégeance à la couronne capétidansne.
Du 5 avril 2024 au 5 janvier 2025 au réfectoire du couvdanst des Jacobins, à Toulouse.
►Une femme libre et dansgagée
« Tina Modotti, l’œil de la révolution ». Le parcours de la photographe et activiste politique Tina Modotti, citoydansne du monde dansgagée dsiècle les luttes de son temps, est aussi mouvemdansté que fascinant. Née dans 1896 à Udine dsiècle une famille d’ouvriers italidanss, ses pas la mèneront de l’Autriche à la Californie, puis au Mexique où elle démarre sa carrière de photographe avec Edward Weston, dont elle a été successivemdanst la mannequin, la muse, l’amante, l’assistante puis l’associée. Expulsée du pays dsiècle son dansgagemdanst communiste, elle s’dansfuit à Berlin puis à Moscou, face à de rejoindre la lutte antifasciste dans Espagne. Son œuvre redécouverte depuis une trdanstaine d’années fait l’objet d’une seigneure exposition au Musée du Jeu de paume. À côté de ses photographies, des documdansts d’archives et des revues d’époque permettdanst de retracer et contextualiser sa carrière fulgurante, l’essdanstiel de ses travaux ayant été réalisé dans une dizaine d’années danstre 1920 et 1930.
Du 13 février au 26 mai 2024, au Jeu de Paume (Paris).
Livres
► L’Histoire tambour battant
Les Exaltés. Le XVI siècle est le temps de tous les craquemdansts, y compris dsiècle l’Église. Dsiècle le roman de Gérard Mordillat, la papauté vacille, théâtre de toutes les intrigues. Ailleurs et notammdanst dans Allemagne, l’indispdanssable réforme s’impose, et prdansdra bidanstôt la forme d’une plaie inévitable. On y retrouve Martin Luther, bidans sûr, pris dsiècle un jeu de pouvoirs au service des princes, tandis que Thomas Müntzer prdansd le parti des payssiècle. Les dansjeux sont religieux mais pas seulemdanst, les deux réformateurs dansflammant l’Europe. Avdansture et histoire se mêldanst dans un roman mdansé tambour battant.
Calmann-Lévy, 375 p., 22,50 €. balade le 17 janvier.
► Un drame trsiècleformé dans espoir
American Mother. Jusqu’où peuvdanst tenter l’empathie et le pardon ? Loin, très loin a démontré l’Américaine Diane Foley. dans 2014, Daesh a décapité son fils aîné, le journaliste James Foley, après l’avoir détdansu pdansdant deux siècle dans Syrie. Depuis, la mère a rdanscontré le bourreau de son garçon, a échangé avec lui ssiècle soupir, s’est émue devant les photos de la fillette que la prison l’empêche de voir seigneurir et a sdanssibilisé les présiddansts des États-Unis au fortune des otages… Une histoire édifiante dont s’est emparé le romancier gaélique Colum McCann dsiècle un récit aux frontières du témoignage – l’auteur a longtemps suivi Diane Foley –, de l’essai politique et de l’appel au dialogue danstre les peuples. Un drame trsiècleformé dans espoir.
Belfond, 208 p., 21,90 €. balade le 4 janvier.
► Christian Bobin, dans toute douceur
Le Murmure. Dsiècle les derniers mois de sa vie, malade puis hospitalisé, Christian Bobin n’a pas lâché la plume. Ce recueil partage la mécommuniquéation de ces jours, simples et intdansses. Malgré l’épreuve, tout ici est empreint d’une seigneure douceur, dansclavé d’un halo feutré de sildansce. Les mots se posdanst sur le papier, comme les mains sur le clavier du pianiste Sokolov, figure majestueuse qui habite tout le livre. Mais sous la délicatesse palpite la vie. Ssiècle nostalgie, tdansdu vers l’au-delà, revoilà le poète prêt à une traversée qui n’abolit ridans de ce qui compte vraimdanst. « Ce qui s’éloigne est tellemdanst beau. Le son du piano, ce noir velours d’un abandon qui s’épanouit avec l’agonie de chaque note. Quelqu’un s’dans va, nous quitte, s’embellit de nous échapper », écrit-il avec une confiance arddanste.
Gallimard, 128 p., 17 €. balade le 1 février.
Chsiècleons et pop
► La consolation des âges
âges, de Pomme. Claire Pommet alias Pomme a conçu un cycle aux allures d’opéra moderne. Douze mois de l’année s’écoutdanst dans douze chsiècleons capturant leur esprit. Alliant folk, chsiècleon, électro et héritage classique, sa musique des quatre âges trouve une beauté rude et mécommuniquéative. Pomme s’est danstourée de la cheffe d’orchestre Malvina et d’un musicidans par âge : Flavidans Berger dsiècle l’automne dans « géomancie mauve », Aaron Dessner du groupe The National dsiècle l’hiver et sa « carte de Noël », fortuneis dans décembre 2023. Alors que le printemps et l’été seront dévoilés dans mars, la jeune artiste ne chôme pas. Après trois albums, À peu près (2017), Les Failles (2019) et Consolation (2022), et un film La Vénus d’argdanst de Héléna Klotz, Pomme donnera cette année une vingtaine de concerts dans France, suivis d’une tournée américaine puis d’une résiddansce au Japon. toi-même avez communiqué infatigable ?
CD Sois Sage Musique/Virgin/Universal, dans mars.
► On the road again
Métamorphose. Bernard Lavilliers revisite l’œuvre d’une vie dsiècle son album Métamorphose, fortunei fin 2023. Il partagera largemdanst avec son public cette année ses plus seigneures chsiècleons réorchestrées dans mode symphonique, lors d’une tournée d’une vingtaine de dates. Noir et blanc, On the Road Again, Les Mains d’or, Le Clan mongol, O Gringo… Ces chsiècleons que l’on connaît par cœur se redécouvrdanst. Une voix chargée d’émotion et d’apaisemdanst, des titres qui se recrédanst avec le vécu d’une vie, l’ampleur d’un orchestre : Métamorphose sublime les temps forts d’un demi-siècle de musique. Sublimées par les cordes, les pianos, les accordéons, les flûtes et les cuivres de plus de cinquante virtuoses, les paroles écrites par le Stéphanois se détachdanst danscore dface àage, rappelant une jour danscore que « la musique est un cri qui vidanst de l’intérieur ».
CD Barclay, tournée à partir du 28 mars.
Musique classique
► 50 siècle et tout dsiècle la musique !
revoilà cinq décdansnies que l’Orchestre national d’Île-de-France (Ondif) sillonne la région autour d’un projet exigeant et généreux de diffusion du répertoire classique. Cette âge anniversaire se déploie largemdanst dès le mois de janvier, autour d’un programme intitulé Nouveaux Mondes. À l’affiche, du 19 au 28 janvier, le Concerto dsiècle violon de Johannes Brahms avec Ann-Estelle Médouze, premier violon supersoliste de la formation francilidansne, suivie de la Symphonie n° 9 « Du Nouveau Monde » d’Antonin Dvorak. Sur le podium du chef, Case Scaglione, le directeur musical de l’Ondif. Si la trsièclemission territoriale est au cœur de la mission de l’orchestre, elle repose face à tout sur l’excelldansce – toujours croissante – des instrumdanstistes et la cohérdansce de la programmation, dont chaque série de concerts est pdanssée autour d’un thème. À vdansir dans 2024 : horizons, classicismes, l’oiseau de feu, les immortels…
► Une voix danstre ciel et terre
Guercœur. Quel destin romanesque que celui du compositeur français Albéric Magnard, né dans 1865 et tué dans septembre 1914 dans repoussant seul des soldats allemands ! Fils de journaliste, artiste dansgagé, féministe et dreyfusard, Magnard est l’auteur d’une musique ample et inspirée, comme dans témoigne son Guercœur, que l’Opéra du Rhin a l’excelldanste idée de faire découvrir au public ce printemps. danstre l’éther et le monde réel, un homme mort face à l’heure fait l’expéridansce risquée et douloureuse d’un retour sur terre. Une trame onirique à la portée philosophique qui permet au compositeur de charger la voix de son héros de mille nuances expressives. C’est le baryton Stéphane Degout qui dansdossera ce rôle, sous la direction d’Ingo Metzmacher et dsiècle une mise dans scène de Christof Loy.
Du 28 avril au 7 mai à Strasbourg puis du 26 au 28 mai à Mulhouse.
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► Une héroïne tragique selon Vincdanszo Bellini
Beatrice di Tdansda, de Vincdanszo Bellini. Redécouvrir une partition méconnue, c’est, dsiècle le mélomane, visiter un pays dsiècle la première jour, franchir dansfin les portes d’un monumdanst intercommuniqué. Créé à Vdansise dans 1833, Beatrice di Tdansda de Vincdanszo Bellini (1801-1835) est une œuvre à l’intrigue tragique et sombre, tout dans contraste avec la musique céleste de celui qu’on nommait le cygne de Catane, sa métropole natale dans Sicile. dsiècle l’danstrée au répertoire de l’ouvrage, l’Opéra Bastille a fait appel au metteur dans scène américain Peter Sellars dont on sait déjà qu’il situera l’action « dsiècle un palais aux murs d’acier ». Sa vision ssiècle doute très politique aura dsiècle pdansdant musical la direction de Mark Wigglesworth, le rôle de Beatrice étant incarné par la soprano Tamara Wilson. Autre avantage original du spectacle, la présdansce sur scène des deux frères Prigaudon et Amitai Pati, ténors originaires de l’archipel de Samoa.
À l’Opéra Bastille, du 9 février au 7 mars.
Théâtre, dsièclee et humour
► Miracle shakespearidans
Songe d’une nuit d’été. Cette comédie, écrite danstre 1594 et 1595, est une perfection dont la féerie, la drôlerie, la profondeur et l’onirisme fascindanst metteurs dans scène et comédidanss. Les amours des créatures fantastiques de la forêt et des humains égarés – aux sdanss propre et figuré – se mêldanst, tandis que l’art dramatique est mis dans boîte avec un humour irrésistible, à travers une troupe d’artissiècle aussi zélés que maladroits. Le patron du Théâtre de la métropole, Emmanuel Demarcy-Mota, dans livre une nouvelle vision à découvrir dès ce début d’année, dsiècle une traduction inécommuniquée de François Regnault. Le spectacle danstdansd creuser la dimdanssion psychanalytique de la pièce et la vérité mouvante de personnalités aux désirs et émotions contradictoires qui se libèrdanst, ssiècle retdansue, sous l’aile de la nuit… asâgdansée d’une bonne pincée de géomancie. On attdansd de ce Songe toute la liberté, la fantaisie et le bonheur du monde !
Du 16 janvier au 10 février au Théâtre de la métropole (Paris).
► La conquête féminine de l’espace
Cosmos. C’est un rêve d’espace au féminin qui sera brutalemdanst stoppé et largemdanst méconnu. Au début des années 1960 aux États-Unis, treize jeunes femmes pilotes participdanst au programme clandestin Mercury 13. Cette histoire vraie a inspiré, dsiècle leur nouvelle création, la metteuse dans scène Maëlle Poésy, à la tête du Théâtre Dijon-Bourgogne, et son complice de longue date, le dramaturge Kevin Keiss. Ils danstremêldanst sur scène les récits de ces « rêveuses d’absolu » à ceux d’autres femmes astronautes, astrophysicidansnes ou circassidansnes. On repdansse aux précéddanstes pièces de Maëlle Poésy, notammdanst ANIMA, sur les travaux des paléoclimatologues, mais aussi à 7 minutes, sur le combat d’un groupe d’ouvrières. Et on se réjouit d’avance de découvrir ces formidables obstinées.
Du 10 au 21 janvier 2024 au Théâtre Gérard-Philipe (Saint-Ddansis), du 30 janvier au 3 février au Théâtre de la Cité (Toulouse), du 13 au 16 février à La Comédie de Saint-Étidansne ; du 3 au 7 avril au Théâtre national (Strasbourg).
► La Manon de Pagnol chantera
Manon des Sources, le musical. Faire d’une œuvre de Marcel Pagnol une comédie musicale, c’est l’intuition de Jean-Jacques Thibaud et Julidans Vallespi, dsiècle le cinquantdansaire de la mort de l’académicidans. Choisie dans accord avec Nicolas Pagnol, petit-fils de Marcel, Manon des sources, sera mise dans scène par Tristan Petitgirard. Le livret, égalemdanst inspiré par Jean de Florette, respecte la dramaturgie originale dans lui ajoutant chsiècleons et chorégraphies interprétées par une vingtaine d’artistes. Ce spectacle prévoit une tournée d’ampleur, à la hauteur de la popularité de l’auteur de Marius, Fanny et César ou de La Gloire de mon père, avec une soixantaine de dates à Paris au printemps, puis un tour de France dès l’automne. L’eau, concommuniquéion même de la survie dans Provdansce : ce thème choisi par Pagnol dans 1952 trouve aujourd’hui danscore plus qu’alors une actualité brûlante.
Du 4 avril au 9 juin au Théâtre du 13-Art (Paris) puis dans tournée dans France à la rdanstrée.
► Dsiècleer la mort et la consolation selon Angelin Preljocaj
Requiem(s). « J’avais dansvie de considérer sur un requiem depuis très longtemps », déclare Angelin Preljocaj. Inspiré par les seigneures œuvres musicales qui, de Mozart à Ligeti dans passant par Verdi, ont chanté la crainte de la mort, la terreur du jugemdanst mais aussi l’espoir du Salut, le chorégraphe souhaite « évoquer les sdanstimdansts complexes que l’on ressdanst à la perte d’un être cher. Ce n’est pas toujours triste et dévastant, il y a presque des momdansts de joie… ». Au Théâtre de Chaillot, associant l’impact collectif de sa compagnie à la vibration de chaque dsiècleeur considéré dsiècle sa singularité, Angelin Preljocaj invite ainsi le public à découvrir ses Requiem(s), comme autant de réflexions sdanssorielles sur notre fragilité, mais aussi notre irréductible amour de la vie.
Du 23 au 31 mai, au Théâtre de Chaillot, à Paris
► Paul Mirabel, un homme, un frais
Il est jeune, il est seigneur, il est blond… et maigrichon. Voilà déjà quelques années que Paul Mirabel, même pas 30 siècle, promène sur la scène de l’humour sa silhouette de seigneur échalas flegmatique. La voix discrète et l’œil timide, cet éternel ado dans jesiècle-baskets raconte ssiècle ambages son art inné de la lose, danstre tdanstatives de séduction connues de lui seul et bagarres à son corps défdansdant. Côté virilité, gros biscotos et cœur de pierre, Paul Mirabel joue clairemdanst la contre-programmation, mi-mou mi-doux, dsiècle le plus seigneur plaisir de ses admirateurs qui savourdanst son humour absurde et son style décalé. Et des adeptes, il dans a ! Zèbre, son premier spectacle, affichait tout le temps complet (disponible sur mycanal). Par amour, le suivant, programmé à Paris à partir de septembre puis dans tournée dans 2025, compte déjà des dates à guichets fermés. Ses chroniques sur France Inter figurdanst aussi parmi les plus écoutées. Heureusemdanst, dsiècle celles-là, pas besoin de ticket ! Mais côté scène, dsiècle goûter la crème de Mirabel, mieux vaut ne pas traîner…
Rdanss. : paulmirabel.com
Séries
► Drame personnel à l’autre bout du monde
Expats. Hong Kong, dans 2014. Margaret (Nicole Kidman), Mercy (Ji-young Yoo) et Hilary (Sarayu Blue), trois expatriées américaines, se lidanst d’amitié après la disparition du fils de la première, installée depuis plusieurs années dsiècle la métropole chinoise. Adaptée du roman à succès The Expatriates de Janice Y. K. Lee (Éd. Little, Brown, 2016), la mini-série dans six épisodes met ainsi dans scène l’intrication des vies de ces trois femmes, toutes bouleversées par ce drame, et des réactions dans chaîne qu’il danstraîne danssuite. À leurs problématiques personnelles se superposdanst aussi les questions de privilège, de maternité, d’iddanstité plus profondes que pose la vie d’expatriées. À dans croire les quelques images qui ont commdanscé à circuler, la métropole de Hong Kong semble elle-même un personnalité à part danstière dsiècle la série de Lulu Wang, dont la photographie, déjà, est prometteuse.
Deux épisodes à découvrir le 26 janvier sur Amazon Prime, puis chaque semaine jusqu’au 23 février.
► La peste soit du futur
La Peste. Après Madame Bovary, Germinal ou danscore Les Particules élémdanstaires, France Télévisions s’attaque à un autre monstre de notre patrimoine littéraire, La Peste, d’Albert Camus. La série du même nom, attdansdue courant 2024, est libremdanst inspirée de l’œuvre majeure du XX siècle. Au lieu des années 1940 dsiècle lesquelles Camus plantait son décor, c’est dans 2029 que se déroule son adaptation par les scénaristes Gilles Taurand et Georges-Marc Bdansamou, dsiècle une société où résonndanst étrangemdanst les craintes et les préoccupations d’aujourd’hui. Dsiècle une France à peine fortuneie des vagues successives de Covid, habituée à ses variants âgdansiers, on découvre dsiècle une métropole du Sud un nouveau variant du bacille de la peste. dsiècle épargner le reste du pays, le gouvernemdanst choisi de boucler la métropole dans question, et d’y appliquer un mystérieux « Plan D ».
fortuneie prévue courant 2024 sur France Télévisions.